Jadis, j’étais socialiste. J’étais même surnommé « le syndicaliste » par certains professeurs. J’ai toujours détesté l’injustice, raison pour laquelle je me sentais « devoir » être socialiste, pour une plus grande justice sociale, afin de protéger les plus faibles des plus forts.
Je fus socialiste jusqu’à mes 25 ans environ, malgré 8 années de cours d’économie.
Au lycée d’abord, avec des professeurs socialo-communistes, puis en école d’ingénieur avec des professionnels, comme par exemple un directeur d’agence bancaire, ou encore un directeur dans la grande distribution.
Ces derniers m’ont permis d’ouvrir les yeux sur bon nombre de choses, mais j’ai cependant mis encore quelques années avant de me rendre compte de l’entièreté de la supercherie, que ce soit le socialisme international ou national.
Mais qu’est-ce qui m’a fait changer d’avis malgré tant de certitudes ?
Tout d’abord, j’ai apprécié ces 8 années à étudier l’économie à l’école (micro et macro-économie, comptabilité, gouvernance d’entreprise), j’ai donc tout naturellement continué à étudier le sujet, en m’ouvrant également à d’autres disciplines, comme la finance et l’investissement. J’ai également fait ce qu’il ne faut jamais faire si on ne veut pas changer d’avis sur un sujet : comparer les systèmes entre eux. Chose que nous ne faisions JAMAIS à l’école, les professeurs restant toujours sur de la théorie pure sans jamais parler de pratique (ce qui désavantagerait fortement le socialo-communisme, raison pour laquelle ils ne proposent jamais de cas pratiques).
Quelle ne fut pas ma surprise de constater que tous les pays socialistes ou communistes avaient un point commun : une faible croissance, voire une décroissance, et beaucoup de pauvreté, toujours plus de pauvreté. Dans certains cas, le socialisme pouvait avoir de bons résultats, mais seulement pendant quelques petites années et uniquement en sortie de crise, comme notamment la relance économique du IIIe Reich dès 1933 (qui ne sera efficace que jusqu’en 1936-37), après la crise de 1929.
Je remarquai rapidement que les socialistes se targuaient toujours de « réduire les inégalités », mais jamais de réduire la pauvreté. Effectivement, le principe même du socialisme est de réduire les inégalités (qui sont pourtant des inégalités génétiques, biologiques).
En 2016 j’ai donc commencé à étudier des penseurs vraiment libéraux en économie, que nous n’étudions jamais à l’école, à tel point que celui considéré comme le plus à « droite » était John Maynard Keynes, qui est un économiste prônant pourtant le très à gauche système de « L’Etat providence », et la relance économique par la consommation (spoiler alert, ça ne fonctionne pas et mène à vouloir imprimer de l’argent magique ce qui entraine de l’inflation monétaire puis une inflation des prix).
J’ai donc étudié les théories d’auteurs comme Friedrich Hayek, Joseph Schumpeter (et l’excellente « destruction créatrice » !), Alexis de Tocqueville, Edmund Burke, Ludwig von Mises, Frédéric Bastiat, Hans-Hermann Hoppe, Milton Friedman, etc…
Dans le même temps, je découvris Charles Gave, notamment grâce à ses interventions sur Youtube, à la télé (avant qu’il ne soit persona non grata), à la radio ou encore le Carrefour de l’Horloge.
Aujourd’hui j’ai eu l’idée de comparer différents classements, de les superposer, afin de voir s’il y avait vraiment des corrélations positives, et si mes intuitions sont bonnes :
- Le rapport mondial sur le bonheur (2024)
- L’indice de la liberté économique (2024)
- Le PIB par habitant (FMI – 2024)
- Le classement du QI moyen (2023) – Henss R. The Intelligence of Nations. National IQs. Update 2023
Voici donc le classement mondial du bonheur (2024), avec à côté le classement de l’indice de la liberté économique, le classement du PIB par habitant, ainsi que le QI moyen du pays.
La colonne « corrélation » prend en compte la cohérence entre classement du bonheur, celui de l’indice de la liberté économique, et le PIB par habitant (corrélation calculée par l’IA de Microsoft « Copilot » et évidemment vérifiée par mes soins) :
- 1 : Corrélation très forte voire parfaite
- 2 : Corrélation forte
- 3 : Corrélation moyenne
- 4 : Faible corrélation
Tri par indice mondial du bonheur

Premièrement, la France est 27e, ce qui est très peu pour une soit disante grande puissance et n’apparaît pas dans le top 50 de la liberté économique (62e, derrière un pays comme le Viêtnam) étant donné que la France est un pays socialiste depuis minimum 50 ans.
Mais ce qui saute aux yeux, c’est la corrélation positive en haut du classement, comparé à celle du bas de classement (où l’indice du bonheur est meilleur que l’indice de la liberté économique et le PIB par habitant).
A noter que les rares exceptions, où il n’y a pas de corrélation entre les trois classements, ce sont des pays :
- à bas QI, ou à QI moyen. Un bas QI moyen empêche une bonne efficacité économique du pays (corrélation forte entre QI et réussites socio-professionnelles ainsi qu’avec le PIB/PIB par habitant comme nous le verrons plus bas)
- comme Singapour ou Chypre, qui sont des exceptions, où la population est moins heureuse que ses excellents résultats économiques le présagent (par exemple pour Singapour, 1er à la liberté économique, 5e au PIB par habitant, mais 30e à l’indice du bonheur, qui n’est pas non plus un mauvais résultat).
- comme le Salvaror, où le classement mondial du bonheur est en forte hausse ces dernières années, depuis l’arrivée au pouvoir de Nayib Bukele qui a envoyé 10% de la population dans des prisons ou des camps de redressement, faisant passer le Salvador du pays le plus criminogène au monde, au pays… le plus sûr du monde !
Malgré un libéralisme économique de la part de Bukele, le pays est 117e à cet indice de la liberté économique, mais 59e sur un autre indice. Surement un biais statistique de la part des personnes ayant réalisé cet indice et n’aimant pas vraiment Nayib Bukele !
Tri par indice de la liberté économique

Dans le top 50 du classement mondial du bonheur, il ne manque que 4 pays dans les 30 premiers pays à l’indice de la liberté économique, cela montre vraiment une forte corrélation entre bonheur et liberté économique.
Ne montrez surtout pas ce tableau à un socialiste !
Tri par QI moyen

Trié par QI moyen, nous voyons qu’il y a bien une forte corrélation entre QI moyen des habitants, liberté économique, et PIB par habitant, mais également le bonheur de sa population.
Le QI étant héréditaire à environ 85% (15% pour l’environnemental), nous comprenons aisément qu’il est impossible de rendre un pays pauvre, avec une population à bas QI, soudainement riche et intelligent, même en les subventionnant à coups de milliards en « aide au développement ». Comme il est impossible pour un pays riche, à haut QI moyen, d’espérer être encore plus prospère avec une immigration venant de pays à bas QI. C’est un mythe gauchiste (égalitariste) qu’il est grand temps de détruire.
Tri PAR PIB/habitant

Là encore la corrélation saute aux yeux, les pays avec le plus de PIB par habitant, sont les pays où la liberté économique est la plus respectée, mais aussi tous les pays où le QI flirte avec 100, ou le dépasse.
Conclusion
Nous pouvons aisément admettre une corrélation très positive entre :
- La liberté économique dans un pays
- Le bonheur de ses habitants,
- Le PIB par habitant
- Le QI moyen de ses habitants
Les pays avec des habitants ayant un QI moyen plus ou moins bas tendent plus naturellement vers le socialisme que vers le libéralisme économique, ce qui n’arrange absolument pas la situation économique de ces pays (corrélation positive entre libéralisme économique et PIB par habitant).
Cependant, ce n’est pas le système économique qui fait le QI d’un peuple (étant donné que l’hérédité est de 85% environ, et qu’il faut des siècles pour prendre par exemple 5 points de QI), mais l’inverse. Des personnes moins intelligentes seront moins aptes à entreprendre, à devoir accepter des responsabilités, à définir une stratégie pour atteindre un but, à imaginer les conséquences de leurs actes (raison pour laquelle les populations à bas QI et à haut taux de testostérone, sont aussi des populations criminogènes) ce qui est pourtant absolument nécessaire à tout investisseur et inventeur.
Ces gens, à plutôt bas QI, chercherons plutôt un cadre sécurisant, comme être employé dans une entreprise, voire mieux, fonctionnaire dans une administration publique, avec « la protection de l’emploi » (quitte à râler à longueur de journée et à se syndiquer car ça ne va pas comme ils l’auraient voulu).
Globalement, les personnes n’ayant pas les capacités intellectuelles à créer de la valeur, chercheront toujours à voter pour des personnes qui souhaitent « redistribuer les richesses ».
Couplé à une immigration massive à bas QI dans des pays à haut QI, certains pays occidentaux ont dû passer d’un libéralisme économique, un pragmatisme économique, à un socialisme, comme la France, qui a perdu 5 points de QI en 50 ans (de 102 à 97) et est passé au socialisme dès 1981 et les premières grosses vagues d’immigration africaine (QI moyen des Africains sub-sahariens de 68, de 80 pour les Maghrébins, de 102 pour les Blancs Européens).
Ensuite les recettes fiscales ne peuvent suivre l’évolution de la dépense publique, toujours plus importante, pour faire vivre des parasites inaptes au travail, et c’est ici que la dette se met à exploser.
Nous avons là tout le problème de la France (qui est 62e à l’indice de la liberté économique) : une immigration à très bas QI ayant des BAC-5, un socialisme tendant donc de plus en plus vers un communisme soft pour préserver une « paix sociale » et raciale, une expatriation des hauts QI à BAC+5 souhaitant gouter à la liberté économique, ce qui entraine donc une baisse des recettes fiscales, une nouvelle hausse des dépenses et un poids fiscal toujours plus grand sur les classes moyennes.
C’est comme cela que l’on se retrouve avec 3300 milliards de dette, soit 140% du PIB, et une classe moyenne qui n’en peut plus, matraquée fiscalement en plus de devoir fuir des hordes de barbares.
Le socialisme est une maladie mentale.