La « Silicon Valley Bank », la banque des entreprises gauchistes du monde de la technologie en Californie, a réussi l’exploit de faire faillite en 48h chrono. La faillite de banque la plus importante depuis 2008.
Fin 2022 la banque gérait 209 milliards de dollars d’actifs et possédait pourtant 175,4 milliards de dépôts en banque.
Cependant depuis quelques mois, les taux d’intérêt ont augmenté fortement aux USA, avec comme but de faire ralentir l’activité économique (le seul moyen de réguler une inflation des prix est de réduire la masse monétaire en circulation, donc de réduire l’activité économique).
Le monde « de la tech » fait face, dans le même temps, aux conséquences d’une bulle financière due aux politiques monétaires de type « planche à billet », qui ont fait gonfler artificiellement la valeur des actions ces dernières années, plus particulièrement celles des entreprises technologiques.
Il y a quelques mois, la banque avait également fait savoir qu’ils favorisaient maintenant les « initiatives LGBT » et n’avait pas remplacée, avant Janvier 2023, leur manager des risques pourtant parti depuis Avril 2022 . Trop occupée à organiser des « journées de visibilité lesbienne », des « mois de la fierté », ou encore des « safe space », ils auraient mieux fait d’investir dans leur cœur de métier.
Couplé à des délires gauchistes de plus en plus délirants et obscurantistes qui leur fait perdre des clients, beaucoup des entreprises technologiques ont eu soudainement un besoin de financement, et ont donc décidés de retirer leur argent de la banque, ce que n’a pas su leur garantir la Silicon Valley Bank prise par surprise et surement occupée à organiser une lecture queer avec des enfants de 3 ans.
N’ayant pas diversifié ses clients et ses actifs, ce qui est pourtant la base pour toute entreprise et tout investissement financier pérenne (que ce soit vous concernant, ou n’importe quelle entreprise de gestion d’actifs), la banque paie ses erreurs de débutant et son gauchisme. Normalement, aucune personne saine d’esprit ne finance des entreprises faisant la promotion de délires obscurantistes et contre-nature.
Il était donc grand temps que ces détraqués en paient le prix et que la destruction créatrice fasse son effet !
« Go woke, go broke » comme disent les américains.
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Maxime Leroy 