La fameuse « transition écologique », martelée à toutes les sauces, est avant tout une excuse pour nous faire accepter un futur gouvernement mondial, qui serait nécessaire « pour sauver la planète », détruire les identités nationales « vecteurs de guerre » et restreindre nos libertés par la même occasion.
L’arnaque de cette « transition énergétique et écologique » consiste à mettre en avant des énergies soi-disant vertes (la pollution se situe aux sites d’extraction des terres rares, bien souvent en Asie), intermittentes donc soumises aux aléas climatiques, et ultra subventionnées inversement proportionnelle à leurs rendements exécrables.
Optimiser l’efficacité et l’efficience énergétique, par exemple des locaux en entreprise, et éviter les gaspillages sont nécessaires et souhaitables. Cependant de plus en plus d’entreprises veulent faire du « Green IT » à outrance, jusqu’à vouloir réduire l’empreinte carbone des processus métiers et même des logiciels. L’emmerdement bureaucratique est maximal, ce qui empêche une nouvelle fois d’être productif et de se concentrer sur l’optimisation de son cœur de métier.
Mais il faut bien justifier les bullshit jobs des « auditeurs et conseillers environnement » et autres « experts bilan carbone » qui pullulent par ci par là dans les grandes entreprises, afin de faire trémousser de potentiels fonds d’investissement mondialistes très attentifs au fameux « score ESG » (impliquant également tous les délires gauchistes d’inclusivité et d’égalitarisme).
Quand on est de droite et rationnel, on s’occupe des causes non pas des conséquences.
En l’occurrence il s’agit ici de sortir du marché européen de l’énergie, de faire construire de nombreuses centrales nucléaires nouvelles générations (l’énergie la moins polluante et la moins chère), d’augmenter la recherche sur la fusion nucléaire, et d’éradiquer les subventions aux pseudo-énergies vertes pour régler profondément les problèmes d’indépendance énergétique, de coût, et s’assurer une énergie quasi-illimitée pendant des siècles.
Au lieu de cela, ces emmerdeurs professionnels qui sévissent en entreprise votent pour des gens qui ont détruit la filière nucléaire depuis 40 ans, accélèrent les délires européistes, et se plaignent des effets dont ils chérissent les causes. Les mêmes qui sont actuellement dans la rue contre la réforme des retraites.
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