Il y a encore quelques décennies, la grande majorité des occidentaux, qui étaient croyants, ne craignaient pas la mort, notamment les personnes âgées.
Les catholiques et la mort.
Un catholique n’a pas peur de la mort, car il lui faut être un bon catholique, se tenir éloigné du péché, d’être en état de grâce pour prétendre au Paradis, ou au pire au Purgatoire avant d’accéder au Paradis et de retrouver les siens dans l’au delà.
Pendant des siècles, il était donc normal que lors des périodes de crises, lors des famines, les personnes âgées « laissaient leur place » aux nouvelles générations, aux personnes en âge de procréer.
C’était le bien commun de l’humanité, la continuité généalogique et la transmission des gênes familiaux avant tout. De nos jours, avec la perte de la Foi dans les pays occidentaux, le matérialisme, l’individualisme, la peur de la mort et l’égoïsme sont omniprésents et font perdre ces valeurs traditionnelles.
Au plus fort des pics épidémiques, et donc avec des réanimations bondées (comme en France après des années de baisse du nombre de lit en réanimation, sans augmentation depuis début 2020) et un manque d’oxygène, de nombreux prêtres de part le monde, en réanimation et atteint gravement par le coronavirus, ont laissé leur masque d’oxygène à des personnes plus jeunes pour les sauver, quitte à en perdre la vie.
Déchristianisation, individualisme et peur de la mort.
Les boomers athées, qui eux ont bénéficié entre autres des effets bénéfiques des trente glorieuses sur leur niveau de vie, du plein emplois, d’une protection sociale à l’époque bien plus efficace, n’ont rien trouvé de mieux que de promouvoir des mesures libérales au niveau des mœurs (mai 68, avec notamment la liberté sexuelle qui a détruit la famille traditionnelle au fil des années), des idées anticatholiques, et des idées cosmopolites et mondialistes.
Non contents d’avoir détruit la France catholique et blanche, son identité et ses valeurs, et leur âme par la même occasion, les boomers, au crépuscule de leur vie, ne pensent plus qu’à leur petit confort et leur porte monnaie au détriment de l’identité française et des jeunes qui héritent de la civilisation mourante qu’ils leur ont laissé.
Hommes politiques et perversités démocratiques.
Tous les hommes politiques voulant accéder au pouvoir, avant de mettre en place un programme politique, pensent et façonnent leurs programmes en prenant en compte les désidératas de la majorité, et donc de ces boomers vieillissants qui représentent une grosse part des français (et vu la pyramide des âges, il faudra s’attendre ces prochaines années à avoir de plus en plus de décès quotidien et une population française plus touchée par les virus… c’est d’une logique simpliste mais difficile à comprendre pour beaucoup apparemment..).
Nous l’avons vu avec cette pseudo crise sanitaire, sous la pression des populations âgées notamment, nos gouvernants ont refusé catégoriquement de confiner les personnes âgées et les autres personnes à risque (notamment les obèses, qui le sont restés vu qu’ils ont fermé les salles de sport..) sous couvert d’une volonté de ne pas discriminer, car ce ne serait pas compatible avec « les valeurs de la République ». Quand bien même le virus chinois n’est absolument pas dangereux pour les moins de 60 ans (taux de mortalité chez les moins de 60 ans inférieur à la grippe saisonnière, voir mes articles ci dessous).
En plus de cette détestation de discriminer (pour socialement rester « dans le camp du bien ») quitte à enfoncer un pays dans les abîmes et dans le tiers-monde, ils ont également une peur bleue de la mort (à croire que si on leur avait dit que chaque jour meure en moyenne 1700 personnes, ils nous auraient interdit de respirer).
Et encore, serait-ce une réelle peur de la mort, ou alors serait-ce uniquement pour se protéger juridiquement ? Certainement un peu des deux.
Nous devons donc tous subir des mesures politiques liberticides, qui ne font que s’aggraver de jours en jours, par peur de la mort, par manque de courage politique, par manque de couille disons le clairement, par manque de confiance au peuple français.
On a nié notre liberté et notre responsabilité individuelle, nous refusant le droit de sortir de chez nous comme bon nous semble, en conscience et en adulte, sachant le risque d’attraper le virus en côtoyant nos semblables. Les personnes ayant peur du virus chinois et les personnes à risque, n’avaient juste qu’à s’auto-confiner chez soit pour se protéger.
Pourquoi pourrir la vie de tous les autres, détruire l’économie, augmenter la pauvreté, rendre dépressif des millions d’étudiants et de faire de tous les bébés/enfants de futurs hypocondriaques ? C’est criminel.
COVID et socialisme.
Cette pseudo crise sanitaire n’est que le révélateur de ce qu’est la France depuis environ 100 ans : un Etat paternaliste et socialiste qui biberonne ses citoyens. Cela coïncide étrangement avec l’avènement du bolchevisme. Un HASARD certainement.
Ces mesures politiques totalitaires ont eu, et vont d’autant plus avoir dans le futur, d’énormes répercussions économiques désastreuses.
La dette a explosée, les entreprises fantômes (les entreprises vivant des aides de l’Etat, sans quoi elles ferraient faillites) ont également explosées. Tout bon économiste sait que ces entreprises fantômes, que l’Etat biberonne pour éviter absolument des licenciements, mettent en danger les entreprises viables, répondant eux à un besoin (une entreprise ne répondant pas à un besoin doit mourir, elle ne doit pas être laissée sous perfusion de l’Etat. Il faut laisser faire la destruction créatrice sous peine de le payer en croissance économique, puis en chômage et en pauvreté).
Le plus désastreux c’est donc que des entreprises saines se retrouvent maintenant en très grande difficulté financière. Quand les aides de l’Etat cesseront, ces entreprises feront très certainement faillite, et les salariés viendront remplir les longues listes de Pôle Emploi et viendront peser d’autant plus sur les impôts des actifs. Un cercle infernal.
Nos dirigeants et les français cèdent à la peur et à la précipitation, une peur irrationnelle, et cèdent à l’individualisme, qui rend incompréhensible toutes les mesures politiques prises depuis 1 an et demi.
A moins que tout ceci soit le fruit d’un plan plus global, une expérience mondiale d’ingénierie sociale, visant à mettre en place un nouvel ordre mondial, à base de « Grande Réinitialisation » cher au Forum Economique de Davos ?
Il est loin le temps où les français allaient sur le front, risquer vraiment leur vie, se battaient pour défendre nos libertés et la France catholique.
Battons nous pour retrouver cette belle France, qui faisait l’admiration du monde entier (et plus que des musées et des châteaux).
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Maxime Leroy 