Il ne vous aura pas échappé, à moins d’être atteint d’une maladie dégénérative de type « gauchisme », que depuis quelques années pullulent des publicités, des films et des séries mettant en scène de jolies jeunes femmes blanches aux cotés d’allogènes de tout type, allant du noir subsaharien, du métisse des DOM-TOM, aux racailles nord-africaines et autres vendeurs de kebab.
Que ce soit dans les publicités à la télé, sur les réseaux sociaux, sur les sites internet, dans les rues avec les panneaux publicitaires, dans les films, les séries, et même en page d’accueil de votre site bancaire, ils sont partout : les couples mixtes.
Est-ce que tout cela reflète de réelles tendances sociétales ou est-ce une manipulation de certains cosmopolites déracinées souhaitant la mort du monde blanc par le métissage ?
Statistiques sur les couples mixtes
En France
Selon l’INED (Institut National d’Etudes Démographiques) :
Un mariage célébré en France sur sept est un mariage mixte : une personne de nationalité française épouse une personne de nationalité étrangère.
En 2018, les mariages mixtes représentent 15 % des mariages célébrés en France, ils représentaient 6 % en 1950. Parmi les 234 700 mariages conclus en 2018, 34 600 d’entre eux ont uni une personne de nationalité étrangère et une personne de nationalité française.
En 2015, dans 37 % des cas, le conjoint ou la conjointe étranger-ère possédait la nationalité d’un pays d’Afrique du Nord, 22 % étaient des ressortissants de l’Union européenne et 14% d’Afrique subsaharienne.
Attention car l’INED définit la mixité par la différence de nationalité. Le chiffre de 6% en 1950 est à fortement relativiser. Les étrangers sur le sol français à cette époque étaient en très grande majorité des polonais, des italiens, des espagnols, des portugais, ou des belges, et en grande partie des catholiques. Les mariages mixtes à cette époque étaient donc entre blanc européen.
Or comme le souligne l’INED, en 2018, au sein des mariages mixtes (15% du total), seulement 22% sont des mariages mixtes entre européens. Et par expérience de ces chiffres, par « ressortissants de l’Union Européenne » nous pouvons également y inclure des extra-européens de souche, étant donné que pour ces instances mondialistes, il suffit d’avoir des papiers pour être « européen ».
Au sein des mariages mixtes, ceux entre européens de souche ne doivent pas dépasser les 10%.
Aux Etats Unis d’Amérique
- Depuis 1980, le pourcentage total de mariage interraciaux est passé de 3,2 à 8,4%. Parmis les nouveaux mariages, le taux est passé de 6,7% à 15,1%.
En 2010, les mariages interraciaux les plus courants étaient les mariages blanc/hispanique, à 43,3%, contre 11,9% pour les mariages entre blanc/noir.
Les Blancs étaient les moins susceptibles de contracter un mariage interracial, en moyenne moins de 10%, contre deux fois plus pour les hispaniques, les noirs et les asiatiques. (Etude de Wang et Wendy pour le Pew Research Center’s Social & Demographic Trends Project. Chapitre 4 « Public attitudes on intermarriage »). - Selon une étude sur les sites de rencontre en ligne en 2013, réalisée par Quartz à partir de 2 millions de données d’Are You Interested (Facebook), les femmes blanches répondent plus fréquemment aux hommes blancs et le moins fréquemment aux hommes noirs.

- Une étude de 2015 montre que 70% des enfants noirs sont nés hors mariage.
Lorsque la mère est blanche et le père est noir, ce taux monte à 97%.
97% de ces mères déclaraient que le père ne faisait pas parti de la vie de l’enfant. 98% de ces mères déclaraient que le père ne participait pas non plus financièrement, et 97 d’entre elles avaient recours aux aides sociales de l’état. Un rêve ! - La grande majorité des femmes blanches ayant eu un enfant avec un homme noir, vivent bien en dessous du seuil de pauvreté.
Seulement 10% des femmes qui ont eu un enfant hors mariage avec un homme noir, finissent par se marier. (Etude de Calloway et Tiffany N, « Ninety Two Percent : Examining the Birth Trends, Family Structure, Economic Standing, Paternal Relationships, and Emotional Stability of Biracial Children with African American Fathers ». - Dans une étude de 2013 sur les violences conjugales menée sur 10 000 personnes, les couples interraciaux connaissent une prédominance de la violence comparé aux couples de Blancs.
Cette violence conjugale coute 4,1 milliards de dollar chaque année en soin médicaux et en soins mentaux (Etude « Martin, Brittny A, et al. « Intimate Partner Violence in Interracial and Monoracial Couples » Family Relations, vol 62, n°1, 2013″) - Selon une étude de 2007, en 1958, 4% des Blancs approuvaient les mariages interraciaux entre Blancs et Noirs, contre 75% en 2007 (inutile de préciser qu’en 14 ans, ça a dû augmenter d’autant plus). (Etude « Gallup, Inc. « Most Americans Approve of Interracial Marriages »)
- En 2012, 40% des Blancs, 51% des Noirs, et 48% des Hispaniques considéraient que le monde irait mieux s’il y avait plus de mélange ethnique à l’inverse de 12% des Blancs, 8% des Noirs et 9% des Hispaniques. Le reste déclarait que ça ne ferait pas de différence. Plus ils étaient jeunes et/ou progressistes, plus les mariages interraciaux étaient une bonne chose pour eux, contrairement aux personnes plus âgées et/ou conservateurs.
Paradoxalement, 69% des personnes trouvent qu’une femme célibataire avec un enfant est une mauvaise chose, 43% trouvent que les couples avec enfant non marié sont une mauvaise chose alors que seulement 14% trouvent que les mariages interraciaux sont une mauvaise chose. Il y a là une incohérence entre leur idéologie du métissage et la réalité sociologique des couples mixtes. (Etude de Wang et Wendy pour le Pew Research Center’s Social & Demographic Trends Project. Chapitre 4 « Public attitudes on intermarriage »).
Biais de désirabilité sociale
Le biais de désirabilité sociale est le biais selon lequel les participants à un sondage ou à une enquête ont de répondre à une question « socialement litigieuse » d’une manière socialement acceptable, même lorsque l’étude est anonyme.
En 2016, des chercheurs, dans étude publiée dans le « Journal of Experimental Social Psychology », ont examiné l’activité d’une partie du cerveau nommé « insula » (ou cortex insulaire) lorsque les participants voyaient des images de couples interraciaux et des couples de même race. L’activité de cette partie du cerveau est liée à un dégout ou à une aversion et est considérée scientifiquement comme un marqueur fiable du dégout et du rejet.
Malgré qu’une majorité des participants déclaraient être favorables aux unions interraciales, leurs activités cérébrales ont montré qu’ils avaient pourtant un dégout et une aversion pour ces photos de couple mixte.
Mais alors, pourquoi autant de publicité, de film, de série, avec des couples interraciaux dans les pays blancs, alors que les Blancs sont moins enclin à se mélanger, et qu’ils ont une forme de dégout bien réel des couples interraciaux ?
Guerre psychologique, et non commerciale.
Les effets de la publicité sur le conditionnement mental est bien connu.
De multiples études ont prouvé une corrélation entre l’obésité et la propension de la personne à regarder des publicités montrant de la nourriture grasse et/ou sucrée. Même chose pour le tabac, l’alcool, ou n’importe quel autre produit (les jouets par exemple) chez les mineurs notamment.
Ces mécanismes sont si puissants que chaque pays s’est doté de réglementations pour protéger les plus jeunes.
Qui dirige les plus grandes agences de publicité au monde ?
Il serait donc intéressant de savoir qui contrôle les agences de publicité. Mettons les pieds dans le plat sans se priver d’évoquer ce qui parait essentiel à la bonne compréhension du sujet.
Prenons les 3 plus grandes agences de publicité au monde.

- Le groupe WPP a été fondé est est toujours dirigé par Martin Sorrell, d’origine juive.
- Le groupe Omnicom a été fondé par trois juifs, Allen Rosenshine, Keith Reinhardf et John Bernbach.
- Le groupe Publicis a été fondé par Marcel Bleustein, a longtemps été dirigé par Maurice Lévy et est maintenant dirigé par Arthur Sadoun. Tous les trois sont juifs.
Qui dirige les plus grandes entreprises cinématographiques ?
Les trois plus grosses sociétés de productions cinématographiques sont :

- Disney fut présidé de 2005 à Février 2020 par Bob Iger, Né à New York , de parents juifs (source), et a été remplacé par Bob Chapek, lui aussi juif (source).
- Warner Bros
La Warner Bros fut fondée en 1923 par 4 frères juifs naturalisés américains d’origine juif russo-polonaise. Warner Bros signifie « Warner Brothers », (les frères Warner) de leur vrai nom Wonskolaser (source). La société est maintenant dirigée par Ann Sarnoff, une juive ashkénaze.
- Universal Pictures
La société a été fondée par Carl Laemmle, un juif d’origine allemande. Maintenant dirigée par Ronald Meyer, un juif venant lui aussi d’une famille allemande, elle est également sous le contrôle de Comcast Corporation, une société dirigée par Brian L. Roberts, juif, dont le père, Ralph J. Roberts, est co-fondateur de Comcast Corporation. (source)
Conclusion
Il est donc clair et net que les surpuissants lobbies publicitaires et cinématographiques sont contrôlés par des juif ventant le métissage entre les Blancs et les Noirs.
Que des juifs aient fondé des entreprises innovantes, qu’ils contrôlent et continuent de contrôler ces grandes entreprises, génération après génération, c’est tout à leur honneur. Qu’ils aient traditionnellement la culture de la réussite est là aussi tout à leur honneur.
Cependant nous sommes en droit de nous demander pourquoi des juifs, quand bien même les valeurs familiales et les coutumes juives rejettent catégoriquement le mélange avec les non juifs (dans le Talmud, les non juifs sont considéré comme des bêtes), nous vantent et promeuvent le métissage des Blancs avec les Noirs.
Ces personnes sont conscientes de la nocivité des mélanges inter-ethniques, notamment au niveau d’une baisse du Q.I (la moyenne du Q.I en Afrique subsaharienne est d’environ 72, de 83 en Afrique du nord, contre 100 en Europe), et des violences physiques, psychologiques et sociales faites aux femmes, et pourtant ils en font la promotion.
En font-ils de même en Israël? Vous connaissez la réponse.
C’est donc une véritable volonté de destruction des Blancs. Certainement pour se venger des années 30 et 40 dont nous ne sommes pas coupable…
Il serait temps que les Blancs se réveillent et rejoignent le combat politique, un combat de chaque jours, au travail, en famille ou sur les réseaux sociaux. Une guerre globale et totale.
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Un avis sur “Publicités, films et séries : guerre ouverte contre le monde blanc.”